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Les montagnes du Pascalou
4 mars 2017

Dolomites, juillet 2015

ITALIE du 11 au 21 juillet 2015 :

DOLOMITES

Samedi 11 juillet : Transfert voiture St-Raphaël – Tolmezzo.

Départ de Saint-Raphaël vers 10h du mat.  Le premier jour est consacré au voyage en voiture, de Saint-Raphaël à Tolmezzo, 795km, très long trajet, autoroute jusqu’à Udine, route jusqu’à Tolmezzo. Je trimballe 2 jeunes jusqu’à Mestre, puis, 3 autres jusqu’à Udine. Les derniers km sont tranquille, enfin seul dans la voiture…

1ère nuit Tolmezzo : Airbnb chez Serena, via G.Verdi Villa Santina.

Dimanche 12 juillet : Monte Zoncolan, 1730m, 56km.****

1er circuit : Le départ est à Villa Santina, de mon logement chez Serena. Je monte assez tranquillement jusqu’à Liaris, puis tourne enfin sur la droite pour le début de la terrrrible ascension du Zoncolan. Je me permets de prendre une photo au départ même de l’ascension, là où les pourcentages sont immédiatement inhumains ! Et très rapidement, je me rends compte que rester sur le vélo devient trop difficile… soit les cuissots n’ont pas assez de force, soit il me manque un 3ème plateau, un 30 par exemple… Alors, je marche, jusqu’à ce qu’il devienne possible de remonter sur les pédales… et ce sera comme ça jusqu’au 8ème km, un peu à pied, un peu à vélo. Dans mon infortune, je rencontre un autre cycliste, italien, vététiste, qui marche avec moi, on échange, on tchatche, on souffre ensemble, les km ainsi se raccourcissent. Enfin, vers le 8ème, tout redevient possible, et j’ai grand plaisir à passer les trois petits tunnels qui, je le savais avant, annoncent l’objectif tout proche. Voilà, j’ai mis pas loin d’une heure et demie, seulement pour l’ascension du Zoncolan, c’est dire la difficulté de la chose… La connaissant maintenant, peut-être la retenterai-je un jour, en étant plus frais dans la tête, avec peut-être un autre vélo… La redescente de l’autre côté est très sympa, et le retour à Villa Santina ne pose aucun problème. Serena et son mari, qui sont des gens super agréables et gentils comme tout, m’ont laissé les clés pour la douche, c’est très gentil de leur part d’ainsi me faire confiance…

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   Quelques écritaux sympathiques dans Liaris… on est avertis.               Voilà, on sort de Liaris, et on est de suite à 17%

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La route est jalonnée de photos de champions qui se sont illustrés dans le giro, et dans le Zoncolan

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1750m-Monte Zoncolan

L’arrivée au sommet, où je serais tenté de lever les bras, comme Gilberto Simoni,  ou au sommet, Franco Ballerini, si j’allais à une vitesse convenable et si j’étais sûr de ne pas tomber de vélo… Belle sculpture au sommet. Toujours un peu fiérot pour la photo au col. Celui-ci m’aura fait souffrir. En vélo, je n’ai jamais rien gravi d’aussi compliqué.

 Je pars donc dans l’après-midi, rejoindre Pozzale di Cadore, en prenant un itinéraire très sympathique, par quelques petits cols très chouettes, la Sella di Razzo, la Sella Campigotto, et une route très ‘’scenic”, diraient les américains… avec une très longue descente jusqu’à Lorenzago di Cadore, puis le lac de Pieve di Cadore, et la remontée à Pozzale.

2ème nuit Airbnb chez Lucia, Pozzale di Cadore.

Lundi 13 juillet : Tre Cime di Lavaredo, rifugio Auronzo, 2349m, 44km.***

2ème circuit : Je me rends en voiture à Cortina d’Ampezzo (1200m), départ de ma seconde étape. Je commence par l’ascension d’un premier col, le Passo Tre Croci, 1805m, 600m en 9 km… Ce n’est pas très compliqué, mais néanmoins, je ne fais pas ça en sifflotant. Descente très roulante jusqu’à la route qui mène à Misurina. Il y a un très beau lac. A la sortie du village, on vire à droite, et commence l’ascension des Tre Cime. C’est d’abord 4km bien pentus, entre 6 et 9%. Il y a ensuite un replat, avec même un peu de descente, avant de passer le péage. Puis c’est la montée finale de 4km avec de gros gros pourcentages, entre 10 et 12% en continu… Mais c’est un vrai plaisir tant le paysage est magnifique. Le revêtement est impeccable. Il faut dire qu’il y  a du passage. Pas trop de vélos, mais pas mal de voitures. C’est très touristique. D’ailleurs, au sommet, il y a des voitures partout, des cars. Le rifugio Auronzo est un très grand bâtiment et accueille tous les randonneurs et alpinistes venus se mesurer aux Tre Cime. C’est une très belle ambiance de montagne. Mon ascension s’arrête sur le plus haut parking surplombant le refuge d’une trentaine de mètres environ, aux alentours de 2360m. Quelques photos, puis, avant d’attraper froid, la redescente parfaitement agréable, même s’il y a un petit km de côte pour repasser le Passo Tre Croci. Je galère un peu dans Cortina pour retrouver la voiture laissée dans le parking – gratuit – en bas de la ville.

1809m-Passo Tre Croci

Premier pallier : Le Passo Tre Croci : Bel hôtel et plein de départs de randonnées

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Le Lago di Misurina, 1754m, départ de la route des Tre Cime. 

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 2km plus loin, le Lago Antorno, 1820m

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Arrivée au refuge Auronzo

2354m-Tre Cime di Lavaredo

Là, c’est le ploint le plus haut de la route, 2360m environ. On surplombe le Rifugio Auronzo, 2333m.  

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Photo souvenir au Rifugio Auronzo, bourré de monde… Fait un peu frisquet. Paré pour la descente.

 

 

                Je repars, en voiture, pour Sottoguda, mon troisième b&b, dans lequel je passerai 2 nuits dans un appartement entier, tout à fait agréable, reçu par des gens adorables. 

3ème nuit Sottoguda-Palue, airbnb chez Danilo, 2 nuits 80€

Mardi 14 juillet : Journée marathon à 6 cols : Passi di Falzarego, 2105m, Valparola, 2192m, Gardena, 2121m, Sella, 2244m, Pordoi, 2239m, Campolongo, 1875m, 92km.*****

3ème circuit : Je me rends en voiture au tout petit village d’Andraz, départ de ma plus grosse journée de vélo de ce séjour, puisque je gravis 6 cols, comme dans la cyclo du coin  internationalement connue : le Marathon Dles Dolomites (oui, oui, ‘’Dles’’ c’est la bonne orthographe). Au début, je pars pour 14 km de bonne côte : l’ascension du Passo di Falzarego, puis, je tourne à gauche, et dans la continuité de la côte, j’enquille le Passo di Valparola. Le plus dur de la journée est fait ! Ensuite, c’est une belle descente sur autant de km, très agréablement roulante. Commence alors l’ascension du Gardena, d’abord assez douce sur 7 km, puis plus raide sur les 8 derniers km. Le paysage est de plus en plus somptueux. Après une descente d’environ 7 km, me vient une petite inquiétude, car je ne vois aucune ouverture dans les montagnes tout autour, aucun passage où pourrait se trouver un éventuel col… Et là, très soudainement, s’ouvre sur la gauche une route pas bien large qui mène en 5 km bien raides au Passo di Sella, endroit complètement magnifique encore, une vue splendide et ouverte sur tous les sommets environnants.  Il ne me reste plus que 2 ascensions, ça commence à sentir bon l’objectif atteint ! J’entame regonflé la grosse descente, pour atteindre le pied du Passo Pordoi. On vire donc à gauche pour 6 km d’ascension entre 6 et 7%. Là, au tout début, alors que je me suis arrêté pour enlever le coupe-vent, je vois partir un jeune athlète, certainement, un skieur de fond à l’entraînement, sur ses skis à roulettes. Lui aussi entame la montée du Pordoi, ses deux skis bien parallèles, en poussant sur ses bâtons. Je le verrai mieux tout à l’heure en le rattrapant, me dis-je en ma ford intérieure. Et c’est parti, c’est encore une fois bien difficile, et je ne suis pas très souvent au-dessus des 12km/h… Et je ne vois toujours pas mon skieur de fond, à qui j’ai peut-être laissé trop d’avance au départ, présomptueux que je suis. Finalement, je ne le verrai qu’au col ; il est déjà en récup… C’est bon, je ravale mes illusions ! Après une longue descente de 10 km, on arrive à Arabba, au pied du Campolongo. C’est une ascension en aller-retour. J’ai le choix de la faire, ou pas… Et hop, comme je suis encore en forme (!!!), je me lance dans cette dernière affaire (je crois, en fait, que c’est plus parce que j’aurais un peu regretté de ne pas l’avoir fait). C’est raide, mais je sais que ce n’est pas long, et que c’est fini ensuite, alors, banzaï ! Et franchement, ça se passe trop bien. Alors voilà, la journée à 6 cols, elle est faite, et je suis franchement heureux et un peu orgueilleusement fier d’y être arrivé.

IMGP6113Le village-départ : Andraz.  

2105m-Passo Falzarego

  Le plus difficile est fait : les 14km du Falzarego.

2192m-Passo Valparola

      2 km plus loin, 90m plus haut, le Valparola. Tranquille…  

2121m-Passo Gardena

         Arrivée au Passo di Gardena. Dans le final du Gardena : C’est somptueux !Selfie au Passo Gardena

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Au Passo di Sella… Je suis un peu sous le charme de cet endroit…

 

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2239m-Passo Pordoi

                    L’avant-dernier effort : le Passo Pordoi. Et oui, il allait plus vite sur ses roulettes que moi en vélo…

1875m-Passo Campolongo

Et voilà ! Fini pour la journée avec le Campolongo.

            De retour à Sottoguda, à mon b&b, je me fais à pied la promenade du Serai de Sottoguda. C’est franchement un endroit original, super bien entretenu, au fond de gorges très profondes. Et quand l’hiver est là, les grandes cascades gelées offrent de vertigineuses voies d’escalade sur glace. La promenade grimpe jusqu’à Malga Ciapela, où on retrouve la route principale du Fedaia que je ferai demain.

Il y a également, à l’entrée du village, un ferronnier d’art qui fait des dragons et volatiles fantastiques aux expressions vraiment impressionnantes.

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4ème nuit au même endroit, Sottoguda-Palue.

Mercredi 15 juillet : Passo di Fedaia, 2057m, Passo di Colle Santa Lucia, 1443m, Passo di Giau, 2233m, 70km.

4ème circuit : Deux circuits en aller-retour aujourd’hui.

En première partie, départ de mon b&b de Sottoguda-Palue, pour l’ascension du Passo di Fedaia. Je dois avouer que j’ai un peu raccourci l’ascension du Fedaia en ne la démarrant qu’à Sottoguda – c’est-à-dire, j’ai enlevé les 7 premiers km, de Caprile à Sottoguda, ce qui représente environ 280m de dénivelée – mais  la journée d’hier a été longue et m’a bouffé un peu de courage. Ceci dit, ce n’est pas une partie de plaisir quand même, le Fedaia. Il reste 8km, et ce sont de loin les plus difficiles. On a d’abord la belle côte qui permet de passer sur ce grand pont au-dessus du Serai di Sottoguda que j’ai parcouru hier à pied, et qui traverse un long tunnel bien éclairé jusqu’à Malga Ciapela. Après, c’est bien plus difficile et ça grimpe, après quelques petits lacets, quasiment en ligne droite, avec la pente – vue de face ! – à plus de 10% – je dois dire que ça fait cuire les cuisses ! – jusqu’à Pian de Lobbia. Pour finir, et c’est là que c’est le plus plaisant, le final avec quelques lacets à de gros pourcentages aussi, mais tellement beaux. C’est la belle montagne que j’aime : de la roche avec de grandes prairies d’alpages. Après quelques photos-témoin au col, je me régale de cette descente rapide, roulante, sur un beau macadam, je récupère ma voiture au b&b, et pars pour Caprile, départ de l’ascension du passo di Giau : On part donc de plus bas pour monter plus haut !

 

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2054m-Passo Fedaia

 

Il y a des endroits où c’est costaud, mais 15%, ils exagèrent…       Les lacets, bien connus des amateurs, dans le final du Fedaia.

 

Ben voilà, j’y suis arrivé, et c’était bien agréable. Premier objectif de la journée atteint !

 

  

 

 

Après le col, il y a 2 lacs aux eaux turquoise, et le glacier de la Marmolada, 3343m, juste en face

 

Départ : Sottoguda

Donc, départ de Caprile, sympa petit village de la vallée, direction Rucava par la SR203, route qui va me mener dans un premier temps à un village appelé Colle Santa Lucia, en passant par le Passo di Colle Santa Lucia, 1443m. C’est une montée régulière, assez douce, et ça fait franchement du bien de ne pas se battre comme un chiffonnier avec la pente. C’est sûr, après ce petit col et la redescente jusqu’au village de Selva di Cadore, on entame la véritable ascension du Passo di Giau, et ça, c’est une tout autre affaire : 11km, toujours entre 9 et 10%, avec même deux petits km à plus de 10%. Mais là encore, c’est du plaisir, de la souffrance aussi, mais ce n’est pas inhumain. La route n’est que beauté, luxe, calme et volupté… ! Et une fois de plus, en n’ayant rencontré vraiment que très peu de monde, et bien le col en est plein, de monde ! Je suis trop content d’avoir réalisé mes 2 objectifs du jour !

 

Avant de virer vers Colle Santa Lucia, en bas le village de Digonera, et au-dessus, Pian di Salesei

 

Sur la route de Colle Santa Lucia, on voit au fond le Lago d’Alleghe. Du col de Santa Lucia, le village de Caprile, d’où je suis parti.

 

1470m-Passo di Colle Santa-Lucia

Le col de Colle Santa Lucia, 1443m. En bas, Rocca Pietore.

 

2236m-Passo Giau

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Passo Giau

 

 

 

 

La pancarte du Passo Giau, c’est du grand n’importe quoi au niveau autocollants… Chuis quand même content d’être là !

 

Caprile, c’est finile !

 

Le profil des 10 derniers km du Passo di Giau (n’y figure pas le Passo di Colle Santa Lucia)

 

 

Première partie : Sottoguda-Palue, Passo Fedaia

 

Seconde partie : Caprile, Colle santa Lucia, Passo Giau

             Le profil est un peu inversé… Le parcours prévu était celui-ci, mais j’ai modifié, et j’ai eu raison !

 

Voilà, retour à Caprile, et fin des réjouissances pour aujourd’hui. Je reprends la voiture et me rends à Merano, par le Passo Fedaia, le Passo di Costalunga, puis redescente sur Bolzano, ville industrielle, pas bien jolie, surtout vue de l’extérieur. Pareil pour Merano, ville industrielle, polluée, surtout sous cette chaleur caniculaire, pas bien jolie, surtout vue de l’extérieur.

 

Cortina d’Ampezzo

 

5ème nuit Merano, Garni Sonnengarden, 22 Leitergasse, 39012 Merano. (39)04 73 27 20 00.

 

Là, dans cet hôtel, a priori sympathique et agréable, se situe le tournant du séjour : Voilà, Merano est une ville sans aucun charme, enfin, surtout quand on y passe comme ça sans vraiment s’arrêter. Arrivé dans cet hôtel, donc, à l’écart de la ville, joli endroit avec une belle piscine, la chambre est petite  – ça me change de l’appartement complet que j’avais précédemment à Sottoguda… – mais confortable, fonctionnelle ; arrivé donc dans cet hôtel, je me rends compte qu’il n’y a pas de clim, ni ventilo, que la chaleur est caniculaire, et que je suis donc obligé de garder grandes ouvertes les deux fenêtres qui donnent directement sur la piscine et les quelques tables en bois où tout un groupe d’Allemands ingurgitent des bières, rigolent ‘’Ahr Ahr Ahr’’ bien bruyamment avec leurs fraulein ‘’Ihr Ihr Ihr’’ tout aussi rigolamment bruyantes. Bon c’est un peu fichu pour la sieste tardive, tant pis. Je vais dîner une pizza, pas super bonne, en ville, et reviens à ma chambre, enfin délestée d’Allemagne tumultueuse, et me couche pour une nuit de sommeil hautement réparatrice. QUE NENNI !!! Vers 23h, mes ‘’Ahr Ahr Ahr’’ et ‘’Ihr Ihr Ihr’’ d’outre Rhin sont de retour du repas pour le schnapps-bière-schnapps-bière…(et j’en passe) de fin de soirée, qui ne paraît que commencer… J’ai franchement l’impression qu’ils font leur bringasse dans ma chambre. Alors, pour ne pas leur voler dans les plumes, je me mets un film, avec le casque, mais ce n’est pas vraiment suffisant. Enfin bref, z’avez tous compris… nuit de merdagne ! Finalement, vers 1h du mat, ça se vide… Le ‘’Garni Sonnengarden’’, je préfère oublier…

Jeudi 16 juillet : Passo di Palade, 1512m, 33km.

Bon, le petit déj sauve un peu l’affaire, c’est bon et copieux. Je mets le vélo sur la voiture pour joindre Vitipeno-Sterzing, départ de l’étape d’aujourd’hui qui se fait en 2 parties, d’abord le Passo di Pennes en aller-retour, puis le Passo di Monte Giovo, également en aller-retour. 2 cols à plus de 2200m, donc un programme alléchant. Mais, décidemment, il a été dit que je ne passerai pas plus de temps dans cet hôtel de Merano, où je devais passer 3 nuits. Il fait encore une chaleur épouvantable… Je me trompe, pardon, le GPS me trompe, lamentablement de route, et je me retrouve, sur une toute petite route à une seule voie, coincé derrière un camion qui débroussaille, et quand je demande mon chemin, le type me répond que je ne suis pas du tout sur mon itinéraire. Alors, je pète un boulon, reviens à mon hôtel de Merano, embarque mes affaires, paye, et m’en vais, avec l’idée bien ferme que, basta cosi, je rentre à la maison.   

Avec un dernier petit col quand même, qui est quasiment sur la route du retour : le très connu et fameux Passo Palade, 1200m de dénivelée, 17,5km à 6,9% de moyenne. C’est du bon col quand même. Et surtout, mon compteur annonce une température de 37°C. Peut-être qu’à mon âge, je devrais arrêter ces cônneries !!! Alors oui, je fais celui-là, et je rentre… Et j’ai raison, parce que ce col-là, il est franchement sympa, dur juste comme il faut, long juste comme il faut, sur une belle route, avec de beaux paysages, et très peu de voitures, même pas beaucoup de cyclistes, juste un gars que je double, qui me gonfle, parce qu’au lieu de rouler un moment avec moi, il se met à accélérer, peut-être vexé, va savoir, me prend une vingtaine de mètres, et ralentit de nouveau… je le repasse 500m plus loin, à cause qu’il se roulait sur la langue. Je rencontre aussi un groupe de vététistes, sympa buon giorno, dai dai dai, un peu avant le sommet… Photos (par des motardes italiennes) redescente…

 

 

                Reste à reprendre la voiture pour le long voyage retour jusqu’à la maison, 6 bonnes heures…

Voilà, c’est donc fini, les Dolomites, et c’était quand même bien, même si ça s’est un peu terminé en eau de boudin…

 

 

A une prochaine fois, les Pyrénées peut-être, l’an prochain.

                               Pascal.

 

 

 

 

 

Samedi 11 juillet :            Départ voiture de Saint-Raphaël vers 9h, arrivée à Tolmezzo vers 19h. 800km. 150€

                                               1ère nuit à Airbnb chez Serena, via G.Verdi, Villa Santina. 40€.

Dimanche 12 juillet :      1er circuit : Zoncolan. Puis transfert voiture à Pozzale di Cadore. 70km. 10€

                                               2ème nuit à Airbnb chez Lucia, pozzale di Cadore, Lucia 34 71 01 52 34 28€.

Lundi 13 juillet :                Voiture de Pozzale à Cortina d’Ampezzo. 40km. 5€

                                               2ème circuit : Tre Cime di Lavaredo. Puis transfert voiture à Sottoguda. 31km. 11€

                                               3ème nuit à Airbnb Chez Danilo, Marmolada. 80€ (les 2 nuits).

Mardi 14 juillet :               Voiture de Sottoguda à Andraz. 15km. 3€

                                               3ème circuit : Falzarego, Valparola, Gardena, Sella, Pordoi, Campolongo. 

                                               Retour voiture à Sottoguda. 15km. 3€

                                               4ème nuit à Airbnb Chez Danilo Marmolada. OK (voir au-dessus)

 

Mercredi 15 juillet :        Voiture de Sottoguda a Caprile. 6km. 1€

                                               4ème circuit : Giau, Fedaia.

                                               Voiture de Caprile à Merano. 100km. 15€

                                               5ème nuit à Merano Garni Sonnengarden (39) 04 73 27 20 00 (office du tourisme) 54€

 

Jeudi 16 juillet :                Voiture de Merano à Lana. 60km. 10€

                                               5ème circuit : Palade

                                               Retour à St-Raphaël, 500km. 95€

 

 

                                                                                             

                                                                                                             

 

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